Le secteur médico-social est un pilier essentiel de notre société, et parmi les professions qui le composent, celle d’Accompagnant Éducatif et Social (AES) en EHPAD joue un rôle central. Ce métier allie engagement humain, bienveillance et accompagnement des personnes âgées en situation de dépendance.
L’Accompagnant Éducatif et Social (AES) intervient au quotidien auprès des résidents en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Son rôle est avant tout de favoriser l’autonomie et le bien-être des personnes accompagnées en leur apportant un soutien dans les gestes de la vie quotidienne.
Ses missions principales incluent :
✔ Aider les résidents dans leurs déplacements, leur alimentation et leur hygiène,
✔ Créer du lien social et animer des activités adaptées pour stimuler leur autonomie,
✔ Veiller au bien-être psychologique des personnes accompagnées,
✔ Travailler en collaboration avec l’équipe soignante et les familles pour assurer un suivi optimal.
Devenir Accompagnant Éducatif et Social en EHPAD, c’est choisir une profession où l’humain est au cœur du quotidien. Ce métier offre de nombreux atouts :
💡 Une profession riche de sens : chaque jour, vous améliorez la qualité de vie des résidents,
📈 Un secteur en forte demande : les besoins en personnel qualifié ne cessent d’augmenter,
🎓 Des formations accessibles : plusieurs parcours permettent de se former et d’évoluer dans le médico-social,
👥 Un travail en équipe : collaboration avec des soignants, animateurs, psychologues et familles.
Pour exercer ce métier, il est nécessaire d’obtenir le Diplôme d’État d’Accompagnant Éducatif et Social (DEAES). Cette formation est accessible sans condition de diplôme et permet d’acquérir toutes les compétences nécessaires à l’accompagnement des personnes en situation de dépendance.
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La plateforme ID.Stages Occitanie, accessible à l'adresse https://idstages.laregion.fr/, a été lancée par la Région Occitanie pour faciliter la mise en relation des collégiens, lycéens et étudiants avec le monde professionnel. Elle propose une gamme complète de services pour aider les jeunes dans leur recherche de stages et la découverte du monde professionnel.
Parmi les fonctionnalités offertes par la plateforme :
Offres de stages : Près de 5 500 offres de stages sont disponibles, classées par domaines d’activité, territoires et types de stage, et régulièrement mises à jour.
Ressources pédagogiques : Des vidéos, des lives, des conseils pratiques pour préparer sa candidature, rédiger son CV et sa lettre de motivation, ainsi que des informations sur divers métiers sont mis à disposition.
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Aujourd’hui, choisir son avenir professionnel est un véritable défi. Face à la multitude de métiers et de formations, les étudiants et les personnes en reconversion professionnelle se retrouvent souvent perdus. C’est là que Wilbi intervient, une application innovante qui propose une immersion unique dans le monde du travail. SensAction est partenaire.
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L’infirmier(ère) occupe une place centrale au sein du système de santé, assurant un lien essentiel entre le patient, l’équipe médicale et les autres professionnels du secteur sanitaire. Au-delà des actes techniques, cette profession exige des qualités humaines et relationnelles fondamentales : écoute, empathie, observation fine, capacité d’adaptation et réactivité face à des situations parfois urgentes. L’infirmier(ère) accompagne le patient dans toutes les étapes de son parcours de soins, veille à son bien-être global, et contribue à l’efficacité, à la qualité et à l’humanité des prises en charge. Pour répondre à ces exigences, la formation qui mène au Diplôme d’État d’Infirmier (DEI) fait l’objet d’un cadrage précis, combinant rigueur, approche scientifique et développement personnel.
L’intégration en Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) se fait principalement par l’intermédiaire de la plateforme Parcoursup, offrant ainsi une procédure transparente et nationale. Les candidats doivent être âgés d’au moins 17 ans au 31 décembre de l’année d’entrée en formation et être titulaires du baccalauréat ou d’un diplôme équivalent. Cette exigence garantit un socle de connaissances générales et de compétences transversales indispensables pour assimiler ensuite les savoirs plus spécialisés de la filière infirmière.
Outre la voie « classique », la formation en soins infirmiers est également accessible aux professionnels disposant d’au moins trois ans de cotisations à un régime de protection sociale, souhaitant opérer une reconversion ou un repositionnement professionnel. Dans ce cadre, un dispositif spécifique de sélection et de formation professionnelle continue est proposé, favorisant ainsi l’enrichissement de la profession par la diversité des parcours antérieurs.
La formation au Diplôme d’Etat d’Infirmier (DEI) se déroule sur trois années, équivalant à six semestres, et représente 4 200 heures de travail, réparties de façon égale entre enseignements théoriques (2 100 heures) et stages cliniques (2 100 heures). Cette structuration garantit un équilibre précieux entre l’acquisition de connaissances scientifiques, l’apprentissage de gestes techniques, la réflexion éthique et le développement de compétences relationnelles.
Les enseignements théoriques s’articulent autour de domaines variés : sciences biologiques et médicales, sciences humaines et sociales, sciences et techniques infirmières, sans oublier des unités d’enseignement relatives à la santé publique, à la législation ou à la démarche de soins. Ces connaissances fondamentales permettent à l’étudiant d’acquérir une vision globale de la santé, de comprendre les mécanismes physiopathologiques, et d’adopter une approche préventive et éducative du soin.
Les stages, réalisés au sein de divers milieux de soins (hôpitaux, cliniques, structures médico-sociales, centres de rééducation, services à domicile, etc.), offrent une expérience concrète et progressive. Sous la supervision de professionnels aguerris, les futurs infirmiers(ères) apprennent à adapter leurs interventions aux besoins spécifiques des patients, à intégrer les dimensions technique, éthique et relationnelle du soin, et à s’insérer harmonieusement au sein d’équipes pluridisciplinaires.
La formation infirmière s’appuie sur un référentiel de compétences exigeant, couvrant l’ensemble des dimensions de la profession. Au fil du cursus, l’étudiant développe dix compétences essentielles qui englobent :
Ces compétences sont évaluées tout au long de la formation, tant en milieu universitaire que sur le terrain, permettant à l’étudiant d’identifier ses progrès, de consolider ses acquis et d’affiner son identité professionnelle.
Le Diplôme d’État d’Infirmier confère le grade de licence, reflet de l’exigence et du niveau académique de la formation. Cette reconnaissance facilite l’insertion professionnelle dans une grande variété de contextes :
Au-delà de la pratique générale, de nombreuses spécialisations s’offrent aux infirmiers(ères) souhaitant élargir leurs compétences ou assumer davantage de responsabilités : infirmier anesthésiste diplômé d’État (IADE), infirmier de bloc opératoire diplômé d’État (IBODE), puériculteur(trice), ou cadre de santé après une formation complémentaire. Ces voies permettent d’approfondir ses savoirs, d’enrichir ses pratiques, et de contribuer encore davantage à l’amélioration de la qualité des soins.
La formation en soins infirmiers constitue un parcours exigeant, ponctué d’enseignements théoriques, de stages riches en expériences et d’évaluations régulières. Elle prépare de futurs professionnels à la fois compétents techniquement, capables de prendre en charge des situations médicales complexes, et humainement disponibles, aptes à soutenir, écouter, rassurer, informer et conseiller les patients et leurs proches. Au terme de ce cursus, l’infirmier(ère) se révèle un acteur clé de la chaîne de soins, indispensable au bon fonctionnement du système de santé. Les multiples opportunités de carrière, les possibilités de spécialisation, et le rôle essentiel joué dans la relation de soin font de cette profession un choix porteur de sens, de responsabilités et d’enrichissement personnel.
Chez Sens’Action, nous nous engageons pleinement dans cette dynamique. Notre rôle consiste à révéler et à soutenir toutes ces vocations, en offrant une information claire et fiable sur les formations, en facilitant la mise en relation avec les instituts, les employeurs et les organismes spécialisés, et en fournissant des outils concrets pour orienter chaque personne vers la voie la plus adaptée à ses compétences et à ses convictions. Nous travaillons également en étroite collaboration avec les acteurs institutionnels, afin de renforcer l’attractivité du secteur, de donner une plus grande visibilité aux opportunités professionnelles, et de souligner l’importance cruciale de ces métiers dans la construction d’une société plus solidaire.
Les métiers du social, du médico-social et plus largement du secteur sanitaire et social font aujourd’hui l’objet d’un intérêt renouvelé. Cette dynamique s’observe tant chez les jeunes cherchant à donner du sens à leur première expérience professionnelle que chez des adultes souhaitant une reconversion en accord avec leurs valeurs. Les raisons de cet engouement sont multiples, entre facteurs sociétaux, nécessité de renforcer l’action sociale et l’intervention sociale, et volonté de replacer l’humain au cœur du travail social.
Les professions du secteur social répondent à une exigence essentielle : accompagner, soutenir et protéger ceux qui en ont besoin. Ce rôle couvre aussi bien l’aide aux personnes âgées dépendantes que le soutien aux enfants rencontrant des difficultés sociales, l’assistance aux personnes handicapées pour favoriser leur autonomie, ou l’accompagnement éducatif des jeunes en situation de fragilité. Au fil du temps, les défis liés au vieillissement, à la précarité, aux exclusions ou aux inégalités renforcent la demande en travailleurs sociaux. Qu’il s’agisse d’un éducateur spécialisé, d’un assistant de service social, d’un auxiliaire de vie, d’une assistante sociale, d’un aide-soignant, d’un conseiller en insertion ou d’un accompagnant médico-psychologique, tous contribuent à la cohésion sociale. À mesure que l’économie sociale et familiale se développe, que les politiques sociales s’ajustent, ces métiers font le lien entre la sphère individuelle et la dimension collective de la solidarité.
De nombreux salariés, toutes générations confondues, aspirent à une utilité sociale dépassant la simple productivité. Les carrières sociales, le domaine paramédical, la protection de l’enfance ou encore les services à la personne sont autant de voies pour donner une signification concrète à son activité. On y trouve l’opportunité de favoriser la réinsertion, de soutenir la vie sociale des plus fragiles, de participer à la prévention sanitaire ou d’assurer une prise en charge adaptée dans les établissements sociaux et médico-sociaux. Cette recherche de sens se reflète dans le choix de métiers centrés sur la relation de confiance, l’empathie, le respect, l’entraide, le soutien psychologique et l’accompagnement éducatif. Ainsi, exercer le métier d’assistant social ou devenir éducateur de jeunes enfants, c’est contribuer à l’épanouissement d’autrui et à la construction d’une société plus équitable.
Le secteur sanitaire et social propose une vaste gamme de professions et de statuts : éducateur technique spécialisé, auxiliaire de puériculture, infirmier, moniteur-éducateur, conseiller en économie sociale et familiale, médiateur familial… Autant de métiers accessibles par différents biais, qu’il s’agisse d’un diplôme d’État, d’un certificat d’aptitude, d’une validation des acquis de l’expérience (VAE), d’une entrée en formation après le bac (ST2S, bac pro ASSP, DUT Carrières Sociales, BTS) ou d’une reconversion avec un parcours adapté. Les instituts de formation, les centres agréés et les organismes sociaux proposent des cursus théoriques et pratiques, assurant une professionnalisation progressive. De cette manière, chacun peut trouver la spécialisation ou le niveau d’intervention qui lui correspond, qu’il s’agisse du domaine médico-psychologique, de l’animation socio-éducative, de l’accompagnement en milieu rural, de la gérontologie ou des soins infirmiers.
L’essor des reconversions vers le travail social témoigne d’une remise en question du sens au travail. Qu’ils viennent du secteur privé, de la fonction publique territoriale, hospitalière ou d’État, des personnes déjà engagées dans la vie active choisissent d’intégrer le champ de l’intervention sociale et de l’économie sociale. Les formations, la prépa aux concours d’entrée, les référentiels de compétences, les fiches métiers, les épreuves écrites ou orales, l’expérience professionnelle antérieure et les stages facilitent cette transition. Que l’on vise à devenir assistant de vie, aide médico-psychologique, éducatrice de jeunes enfants, conseiller en insertion ou auxiliaire de vie sociale, la voie de la reconversion se trouve facilitée par la disponibilité d’informations claires, de dispositifs d’accompagnement et de ressources documentées. L’objectif ? Construire un parcours cohérent, en adéquation avec ses aspirations personnelles, ses aptitudes relationnelles et son désir d’agir dans un contexte humain et solidaire.
Malgré leur rôle fondamental, certains métiers du secteur social restent trop peu connus. Les idées reçues, le manque d’information sur les débouchés, les conditions d’admissibilité ou la préparation des concours (IFSI, instituts de formation divers) peuvent freiner les vocations. Pour y remédier, des outils se multiplient : répertoires de formations, ressources en ligne, vidéos métiers, communication professionnelle ciblée, sensibilisation auprès des jeunes publics (notamment 15-30 ans), ateliers pratiques, rencontres avec des professionnels du social, dispositifs d’aide sociale et information sur les allocations familiales. Les fédérations d’employeurs (FEHAP, NEXEM, FHF), les organismes de protection sociale, les collectivités, les hôpitaux, les CCAS, les centres de formation, tous s’unissent pour rendre le secteur plus clair, renforcer l’attractivité des formations, favoriser l’insertion professionnelle et rappeler l’importance des valeurs de solidarité et de dignité humaine.
L’engagement dans le médico-social s’appuie sur un socle de valeurs partagées. Qu’il s’agisse d’aider des personnes handicapées à conquérir plus d’autonomie, de soutenir une personne âgée isolée, d’encourager la réussite scolaire dans un milieu défavorisé, ou de favoriser la réinsertion sociale d’adultes en précarité, la mission reste la même : rétablir la confiance, offrir une écoute attentive, accompagner vers plus de droits, d’égalité et d’inclusion. Ces professions, qu’elles s’exercent en EHPAD, en maison de retraite, en foyer, dans le champ de la petite enfance, de la protection judiciaire, de la santé sociale, de la prévention ou de l’aide médico-psychologique, construisent chaque jour un vivre-ensemble plus humain. Ainsi, le travail en équipe pluridisciplinaire, la réflexion partagée, le projet personnalisé et l’adaptabilité permanente créent un cadre où chacun, professionnel ou bénéficiaire, évolue dans le respect et la cohérence.
L’attrait grandissant pour les métiers du social est bien plus qu’une tendance passagère. Il exprime une volonté profonde, de la part de nombreuses personnes, de donner à leur carrière un sens véritable, de replacer la solidarité, l’entraide et la dignité humaine au cœur de leur quotidien professionnel. Ces professions, essentielles à la cohésion sociale, séduisent désormais des publics variés : jeunes aspirant à s’investir dans un projet porteur de valeurs, adultes en quête de reconversion, ou encore professionnels cherchant une mission plus en phase avec leurs convictions.
Chez Sens’Action, nous partageons pleinement cette vision du travail comme engagement au service d’autrui. Notre rôle est de faire émerger, d’accompagner et de soutenir toutes ces vocations, en offrant aux futurs professionnels une information claire et fiable, en les mettant en relation avec des organismes de formation adaptés, et en leur donnant accès à des outils simples et concrets pour orienter leurs choix de carrière. Nous travaillons également aux côtés des employeurs et des acteurs institutionnels, afin de renforcer l’attractivité du secteur, de valoriser ces métiers et d’en souligner l’importance pour la société dans son ensemble.
En somme, nous croyons fermement que les métiers du social, loin de se cantonner à une niche, forment un vivier de talents et de parcours humains qui participent à la construction d’un monde plus solidaire. En unissant nos forces pour révéler cette réalité, nous œuvrons à un avenir où chacun pourra trouver, dans son travail, une authentique raison d’être et de contribuer positivement à la vie de ses concitoyens.
Les formations paramédicales englobent une multitude de professions dédiées aux soins et à l’accompagnement des patients, qui travaillent en étroite collaboration avec le corps médical. Dans un contexte de vieillissement de la population et d’essor continu des structures de soins, la demande de professionnels qualifiés ne cesse de croître. En France, et plus particulièrement en Occitanie, ces métiers offrent des perspectives d’emploi de plus en plus attractives, tant sur le plan de la diversité des missions que de la stabilité professionnelle.
Cette demande soutenue se reflète non seulement dans la hausse des recrutements, mais aussi dans l’évolution des pratiques : digitalisation de certaines tâches, innovation en santé, prise en charge pluridisciplinaire… Les professionnels paramédicaux sont au cœur de ces mutations et bénéficient d’un large éventail de possibilités pour évoluer tout au long de leur carrière. Ils jouent un rôle essentiel dans l’accompagnement et le suivi des patients, contribuant à la qualité des soins et à l’allègement de la charge de travail du personnel médical.
Les formations paramédicales sont principalement accessibles via :
Ces certifications sont indispensables pour exercer, et les cursus proposés sont rigoureux. Ils combinent enseignements théoriques et stages pratiques en milieu hospitalier ou en structures spécialisées, afin de plonger rapidement l’étudiant dans la réalité professionnelle.
Les formations paramédicales sont sélectives et, pour la plupart, accessibles via la plateforme Parcoursup. Les critères de sélection varient selon les filières et les établissements : examen de dossier, épreuves écrites, oraux, voire combinaison de plusieurs modalités. Depuis quelques années, un mouvement de modernisation des formations est à l’œuvre, avec l’intégration progressive du schéma universitaire Licence-Master-Doctorat (LMD). Cette évolution favorise une reconnaissance académique accrue et facilite les passerelles d’une filière à l’autre (par exemple, possibilité de valider des crédits ECTS pour se réorienter ou approfondir sa formation).
Les structures de formations paramédicales sont multiples :
Chacune de ces structures propose des approches pédagogiques adaptées à la nature même des métiers visés. Les étudiants peuvent ainsi privilégier une approche pratique (avec plus de stages et de travaux de terrain) ou une approche universitaire (davantage axée sur la recherche, l’analyse et la théorie).
Il est essentiel de noter que certaines formations paramédicales, notamment celles préparant aux diplômes d'État d’audioprothésiste, d’orthophoniste, d’orthoptiste et de psychomotricien, nécessitent la formulation de vœux directement sur Parcoursup. Cela permet une plus grande transparence et uniformité dans les procédures d’admission, même si chaque établissement conserve son propre niveau d’exigence et ses spécificités pédagogiques.
Parmi la vaste palette de métiers paramédicaux, les professions d’infirmier(ère), de psychomotricien(ne) et d’orthophoniste sont particulièrement recherchées et reconnues pour leur rôle essentiel dans la prise en charge globale des patients. Voici un aperçu détaillé de chacune de ces formations et de leurs débouchés.
La formation au Diplôme d’État d’Infirmier (DEI), proposée dans les Instituts de Formation en Soins Infirmiers (IFSI), dure trois ans et se divise en six semestres (4 200 heures au total). Chaque semestre est conçu pour équilibrer enseignements théoriques (sciences biologiques, médicales, humaines et sociales) et stages cliniques, permettant une immersion concrète dans différents services (urgences, chirurgie, médecine, pédiatrie, etc.).
Cette formation offre un taux d’employabilité élevé, les hôpitaux publics et privés, cliniques, structures médico-sociales et libérales ayant constamment besoin de nouveaux professionnels. En Occitanie, la demande est particulièrement dynamique, notamment dans les zones rurales qui connaissent parfois une pénurie de personnels soignants.
Le Diplôme d’État de Psychomotricien se prépare en trois ans au sein d’instituts spécialisés, souvent rattachés à des facultés de médecine. Le programme comporte :
Une spécificité de cette formation réside dans l’enseignement des médiations corporelles (relaxation, expression corporelle, etc.), qui enrichissent la palette thérapeutique du psychomotricien. Depuis 2020, l’accès à cette filière s’effectue sans concours d’entrée, via la plateforme Parcoursup, mais demeure sélectif, compte tenu du nombre de places limité et de la popularité grandissante de ce métier.
La profession d’orthophoniste est régie par le Certificat de Capacité d’Orthophoniste (CCO), obtenu après cinq années d’études universitaires. Dispensées généralement au sein des facultés de médecine ou d’instituts spécialisés, ces formations couvrent un large spectre de connaissances :
Les stages cliniques, proposés tout au long du cursus, permettent de développer progressivement ses compétences pratiques en prévention, évaluation et rééducation des troubles de la communication et du langage. Les orthophonistes travaillent autant avec des enfants (difficultés de langage oral et écrit, troubles « dys », bégaiement…) que des adultes (pathologies neurodégénératives, troubles de la déglutition, etc.). Grâce à une demande en constante augmentation, les débouchés sont nombreux, en secteur libéral, hospitalier ou médico-social.
Avec le vieillissement de la population et l’augmentation des besoins en soins à tous les âges de la vie, les professions paramédicales offrent une insertion professionnelle rapide et durable. Selon certaines estimations issues du Ministère de la Santé, la France devra former davantage de professionnels pour faire face au défi démographique (notamment dans les zones sous-dotées).
En Occitanie, région connue pour son dynamisme économique et son attrait démographique, cette demande est particulièrement marquée. Les principales perspectives d’emploi se concentrent dans :
Cette multitude de structures garantit une variété des conditions d’exercice et des possibilités de spécialisation ou de reconversion en cours de carrière.
Les professions paramédicales doivent sans cesse s’adapter aux avancées scientifiques, aux nouveaux outils diagnostics et thérapeutiques, ainsi qu’aux attentes de la population. Ainsi, les formations intègrent de plus en plus de modules visant à développer :
Cette dynamique stimule la créativité et l’esprit d’innovation des futurs professionnels, tout en rendant leurs carrières particulièrement riches et variées. Elle constitue également un atout de taille pour ceux qui souhaitent se réorienter vers un métier porteur de sens et d’utilité sociale.
Chez Sens’Action, nous sommes convaincus que les métiers du paramédical sont au cœur de notre système de santé, car ils placent l’humain et le soin au centre de leur mission. Que vous soyez étudiant, en reconversion professionnelle ou simplement en quête d’un métier porteur de sens, nous vous accompagnons à chaque étape de votre projet.
Notre objectif est de favoriser l’épanouissement professionnel et la réussite de tous ceux qui aspirent à contribuer à la qualité des soins, tout en développant leurs compétences et leur expertise dans un secteur où l’humain reste la priorité.
Les métiers médico-social jouent un rôle fondamental dans notre société en apportant soutien et accompagnement aux personnes vulnérables, qu’il s’agisse de personnes âgées, de personnes en situation de handicap ou de celles confrontées à des difficultés sociales.Ces professions, bien que parfois méconnues, offrent des opportunités de carrière riches de sens et d’engagement humain. Dans un monde où les besoins liés au vieillissement démographique, à la prévention de la dépendance et à la reconnaissance des droits des personnes fragiles se font de plus en plus pressants, le médico-social s’impose comme l’un des secteurs clés de demain.
Le secteur médico-social englobe une multitude de professions dédiées à l’accompagnement des personnes en situation de vulnérabilité. Parmi ces métiers, on retrouve notamment :
Chacun de ces professionnels contribue, par ses compétences spécifiques, à améliorer la qualité de vie des personnes accompagnées, tout en favorisant leur autonomie et leur inclusion sociale. Cette diversité reflète un secteur en constante évolution, ouvert aux innovations sociales et technologiques (téléassistance, adaptation de l’habitat, robotique d’assistance, etc.).
Le métier médico-social d’Accompagnant Éducatif et Social (AES) joue un rôle essentiel dans l’accompagnement des personnes en situation de handicap ou de perte d’autonomie, qu’elles soient âgées ou jeunes. Son intervention vise à compenser les conséquences d’un handicap, quelle qu’en soit l’origine ou la nature, en permettant aux personnes d’être actrices de leur projet de vie.
Cette profession requiert des qualités humaines telles que l’écoute, la patience, le respect, l’empathie et la capacité à travailler en équipe. Elle est accessible via le Diplôme d’État d’Accompagnant Éducatif et Social (DEAES), qui propose plusieurs spécialités (accompagnement de la vie à domicile, accompagnement de la vie en structure, etc.). La formation alterne cours théoriques et stages pratiques, permettant aux futurs professionnels d’expérimenter le terrain dès les premiers mois.
Le métier médico-social d'aide-soignant joue un rôle essentiel dans le secteur de la santé en assurant des soins de base auprès des patients. Il collabore étroitement avec les infirmiers pour :
Très présent dans des structures comme les hôpitaux, les EHPAD (Établissements d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) ou les services de soins à domicile, l’aide-soignant contribue au bien-être physique et moral des personnes soignées.
La formation conduisant au Diplôme d’État d’Aide-Soignant (DEAS) est accessible sans condition de diplôme mais nécessite la réussite à des épreuves de sélection (écrites et/ou orales, selon les régions et instituts). Les qualités requises pour ce métier médico- social incluent l’empathie, la patience, le sens de l’observation, la rigueur et la capacité à travailler en équipe.
L’ergothérapeute est un professionnel de santé spécialisé dans l’accompagnement des personnes rencontrant des difficultés dans la réalisation de leurs activités quotidiennes, qu’elles soient liées à un handicap, une maladie ou au vieillissement. L’objectif principal de ce métier médico-social, est de permettre à ces personnes de maintenir ou de retrouver une autonomie optimale en tenant compte de leurs capacités, de leurs habitudes de vie et de leur environnement.
L’ergothérapeute intervient dans des contextes variés : hôpitaux, centres de rééducation, maisons de retraite, établissements médico-sociaux, structures scolaires, ou encore au domicile des patients. Cette diversité permet une prise en charge globale et personnalisée.
Pour exercer, il est nécessaire d’obtenir le Diplôme d’État d’Ergothérapeute, accessible après trois ans de formation post-bac dans des instituts spécialisés. Les qualités requises incluent l’empathie, la créativité, la capacité d’analyse, le sens de l’observation et une aptitude au travail en équipe pluridisciplinaire.
Le secteur médico-social est en perpétuelle évolution pour répondre aux besoins croissants de la population, notamment en raison :
Cette dynamique se traduit par une demande soutenue de professionnels qualifiés, offrant ainsi de nombreuses opportunités d’emploi et de carrière. Selon les projections, on estime que 150 000 postes seront à pourvoir dans le secteur médico-social d’ici 2025 (incluant éducateurs, aides médico-psychologiques, orthophonistes, psychomotriciens, ainsi que des postes de cadres de santé ou de direction).
Pourtant, le secteur fait face à des difficultés de recrutement et à une pénurie de personnel dans certaines régions. Par exemple, en 2024, environ 35 000 postes restaient vacants dans le social et médico-social, témoignant des tensions grandissantes en matière de ressources humaines.
Réponses à ces défis :
S’engager dans un métier médico-sociale requiert un ensemble de qualités humaines et professionnelles, essentielles pour s’adapter aux situations complexes et diversifiées rencontrées sur le terrain :
Chez Sens’Action, nous croyons profondément en l’importance des métiers du médico-social, des carrières riches de sens qui placent l’humain et l’entraide au cœur de chaque journée de travail. Qu’il s’agisse de devenir Accompagnant Éducatif et Social, Aide-soignant, Ergothérapeute ou Éducateur spécialisé, ces professions permettent de transformer des vies et d’apporter une véritable valeur ajoutée à notre société. Elles répondent à un besoin essentiel : prendre soin des plus vulnérables, tout en bâtissant une société plus solidaire et inclusive.
Que vous soyez étudiant, en reconversion professionnelle ou simplement en quête d’un métier qui a du sens, nous sommes là pour vous guider à chaque étape de votre projet. Notre volonté : vous aider à trouver votre place dans un secteur où l’humain prime et où l’action solidaire est le moteur quotidien.